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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 12:18

Nicolas

 

Sarkozy

François

Hollande

   

52.01%

1 699 187 voix

47.99%

1 567 995 voix

INSCRITS

ABSTENTIONS

VOTANTS

BLANCS ET NULS

EXPRIMES

4 226 033

761 933 (18.03%)

3 464 100 (81.97%)

196 918 (4.66%)

3 267 182 (77.31%)

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 12:15

Nicolas

 

Sarkozy

François

Hollande

   

53.09%

189 voix

46.91%

167 voix

INSCRITS

ABSTENTIONS

VOTANTS

BLANCS ET NULS

EXPRIMES

432

55 (12.73%)

377 (87.27%)

21 (4.86%)

356 (82.41%)

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 12:13

Fran§ois

 

Hollande

Nicolas

Sarkozy

   

50.13%

189 voix

49.87%

188 voix

INSCRITS

ABSTENTIONS

VOTANTS

BLANCS ET NULS

EXPRIMES

459

59 (12.85%)

400 (87.15%)

23 (5.01%)

377 (82.14%)

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 12:11

Nicolas

 

Sarkozy

François

Hollande

   

58.62%

136 voix

41.38%

96 voix

INSCRITS

ABSTENTIONS

VOTANTS

BLANCS ET NULS

EXPRIMES

298

44 (14.77%)

254 (85.23%)

22 (7.38%)

232 (77.85%)

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 12:09

Fran§ois

 

Hollande

Nicolas

Sarkozy

   

51.31%

372 voix

48.69%

353 voix

INSCRITS

ABSTENTIONS

VOTANTS

BLANCS ET NULS

EXPRIMES

972

186 (19.14%)

786 (80.86%)

61 (6.28%)

725 (74.59%)

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 12:06

Nicolas

 

Sarkozy

François

Hollande

   

56.04%

269 voix

43.96%

211 voix

 

INSCRITS

ABSTENTIONS

VOTANTS

BLANCS ET NULS

EXPRIMES

633

120 (18.96%)

513 (81.04%)

33 (5.21%)

480 (75.83%)

 

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 10:37

Nicolas

 

Sarkozy

François

Hollande

   

54.6%

469 voix

45.4%

390 voix

INSCRITS

ABSTENTIONS

VOTANTS

BLANCS ET NULS

EXPRIMES

1 159

221 (19.07%)

938 (80.93%)

79 (6.82%)

859 (74.12%)

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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 17:43

Lettre ouverte à Nicolas Sarkozy : Regardez ce que vous avez fait de la France Monsieur le Président

Par Ze Rédac Nicolas Sarkozy au Trocadéro - cc UMP Photos Nous pourrions, Monsieur le Président, vous accuser d’avoir laissé, après cinq années de mandat, la France en ruine : 600 milliards d’euros…

Pour lire la suite cliquez ici

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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 17:23

Arguments Copernic - 3 mai 2012

Vue sur le site
http://documents.fondation-copernic.org/Newsletter/N4/N4.html
Contre Sarkozy, ensemble !



Chacun votera, bien sûr, selon sa sensibilité. Mais, si l’on saisit, dégât après dégât, le bilan de ce quinquennat, nous aurons la même certitude, une résolution identique : « Sarkozy, jamais plus ! ».

Le bilan est trop lourd, en tous points. Et laisser le Président des riches servir plus longtemps ses amis, achèvera de ruiner les conquêtes sociales issues d’un siècle de luttes. Ce passé qui nous a donné des droits, ces femmes et ces hommes anonymes qui, hier, risquèrent pour nous leurs emplois, leurs salaires, leurs familles souvent, leurs vies parfois, nous obligent à être à la hauteur de ce qu’ils nous ont légué. Ce passé nous oblige à chasser Sarkozy.

Mais tout s’oublie si vite. Nous avons voulu, le plus collectivement possible, dresser l’inventaire de ce qu’a cassé ce quinquennat, c’est l’objet de la dernière Note de la Fondation Copernic, Sarkozy : bilan de la casse.

Il ne s’agit pas, ici, d’en nourrir la mémoire. Il s’agit à l’inverse, pour chaque destruction, l’ayant en tête, de travailler ensemble à l’effacer, en inventant des droits neufs. Sans attendre. Sans rêver. Sans imaginer qu’il suffira d’élire pour que tout soit modifié. Sans croire que nous pourrons, sans nous mobiliser ensemble, obtenir un autre partage des richesses, des logements, une protection sociale qui protège, l’égalité entre femmes et hommes, des services publics restaurés dans leurs missions et leurs moyens d’agir, une économie écologique enfin, une justice indépendante vraiment, la fin des discriminations envers les homosexuel-le-s, les sans-papiers, les immigrés, les jeunes… Et des emplois, des salarié-e-s qu’on ne jette plus comme des merdes en fonction d’un coup de Bourse anticipé, ou d’un profit supplémentaire exigé par les actionnaires...

Ensemble. C’est la condition des transformations. Ensemble, unitaires plus que jamais, c’est le principe de cette Note de la Fondation Copernic. Publiée également en partenariat avec L’Humanité sous la forme d’un hors-série, cette Note, à vrai dire, résume Copernic. Parce qu’elle mêle toutes les expertises et ne les hiérarchise pas. Parce que s’y retrouvent, coude à coude pour une cause commune, des syndicalistes d’organisations diverses, des politiques de tous partis, des intellectuels de toutes spécialités, des citoyen-ne-s ordinaires, des juristes, des médecins, des hauts fonctionnaires et des salarié-e-s de toutes catégories. Copernic, finalement, n’est guère que cette conviction : considérer que chacun apprend tant de l’expertise de l’autre, que l’expertise entre soi, avec lambris dorés et moquette triple couche, à laquelle s’attellent les think tanks libéraux, finalement ne sait rien de la réalité, l’appauvrit, l’euphémise, et nous fait violence.

Nous n’acceptons aucun financement d’entreprise, aucun financement d’Etat, depuis quatorze ans, c’est la condition de notre indépendance, voire de notre impertinence. C’est pourquoi, également, nous ne pouvons continuer qu’ensemble.

Caroline Mécary, Willy Pelletier, Gaëlle Rougerie

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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 17:17

Le pays du Bonheur contre la gauche sacrificielle

Paul Ariès

La droite a délégitimé l’Utopie. La gauche avait suivi faisant fi de sa propre histoire. Depuis les gauches n’osaient plus donner envie de changer de société. Tout au plus promettaient-elles de modifier celle-ci, un peu, rarement beaucoup, jamais à la folie. Ces gauches multipliaient en revanche les discours à majuscules, les discours de donneurs d’ordre. Nous voyons s’opposer au « réalisme » frileux l’éloge des expérimentations et du bricolage, c’est-à-dire aussi le droit de rêver, de penser et de construire en dehors des chemins cloutés. Nous devons Oser dire ce qu’on ne dit plus.

 

Nous devons aussi Oser commettre des erreurs. Cette gauche assagie était une gauche qui s’économisait au double sens du terme : une gauche qui n’osait plus remettre en cause le cadre dominant de la pensée,bref une gauche qui pensait à l’intérieur du système, une gauche qui devenait frigide à force de ne plus Oser faire sécession. Ce hors série exceptionnel du Sarkophage/A cause du peuple ouvre donc les fenêtres sur ce qui surgit du futur mais aussi sur ce qui gronde depuis un lointain passé. Nous voulons

 

Tout changer car rien (ou si peu) de ce monde capitaliste et productiviste ne nous va. Nous voulons Tout changer car non seulement c’est nécessaire mais c’est vraiment possible. Allons changeons tout ! en nous libérant à la fois du capitalisme, du productivisme et de ce que Poutine nomme si bien la verticale du pouvoir,cet esprit de parti qui nous stérilise. Nous ne pourrons en finir avec cette glaciation qui couve toujours sous le feu ardent des engagements sacrificiels au nom de ces fameux lendemains qui déchantent que si nous Osons tout à la fois changer notre rapport aux autres (aux femmes et aux pauvres d’abord), à nous- mêmes mais aussi à la nature, pour inventer qui sait, demain, un pachamama à la française.

 

Fermer la Bourse, les prisons, en finir avec le nucléaire militaire et
civil, abolir la propriété privée lorsqu’elle est nuisible, organiser l’égalité, changer notre vision de l’éducation et de la santé, repenser la police, révolutionner la question du genre et nos rapports aux animaux, etc. Utopie rétorquera-t-on.

Spinoza dénonçait déjà le refus d'occuper l'espace-temps, d’être présent au monde.

Et si la vraie question n’est pourtant pas celle du réalisme versus l’utopie mais celle de la bonne distance. Il ne s’agit plus d’imaginer une utopie qui appelle au sacrifice individuel ou collectif mais d’ouvrir l’accès à l’eutopie, au socialisme-gourmand. L’eutopie est le bon lieu, le pays du bonheur, celui du Bien-vivre que nous désirons construire. Un vent souffle durant cette campagne présidentielle qui peut donner à croire qu’une fraction importante des gauches peut en finir avec l’anesthésie de la vie.

 

Ne nous trompons pas : un des premiers territoires à libérer sera celui de nos organisations afin d’en faire des lieux de créativité
gourmande, des espaces de libre circulation de la parole.

 

Nos organisations sont construites pour mener des batailles et gagner des guerres, pas pour y vivre.

On est bien plus heureux et bien plus vivant dans un club de boulistes, un groupe d’amis, en famille qu’au sein d’une avant-garde révolutionnaire.

 

Les amitiés y sont rares et fragiles. La bureaucratie a toujours tenu son pouvoir de la gestion de l'utopie et des sacrifices afférents. Fonder un socialisme sur le report de la jouissance, c'est à dire sur une utopie dont la réalisation est sans cesse repoussée n'est donc pas tant une façon de frustrer les militants au présent que d'asseoir le pouvoir de la direction chargée de gérer cette frustration.

 

Mais cette campagne électorale prouve qu’une autre utopie est possible, qu’une autre utopie est en marche, une utopie qui soit un appel à transformer le naufrage de cette société en exode. Pour Gilles Deleuze, un devenir révolutionnaire était tout sauf une nouvelle transcendance, sauf une révolution par en haut, avec ses militants professionnels et ses petits matins blêmes.

 

La meilleure façon de ne plus «utopiser à l’infini » c’est donc de multiplier les événements, de retisser du lien, tout en respectant les singularités composant les diverses multitudes. C’est aussi
de regarder loin pour que nos petits bouts de solution n’aillent pas à l’opposé de la société dont nous rêvons.

 

Chiche : Prenons au sérieux cette « règle verte »
que le Front de gauche oppose désormais à la règle d’or merkozyste…

 

Chiche : produisons et consommons de façon à combler les «besoins de haute nécessité » dans les limites de l’empreinte écologique.

 

Chiche : rendons la parole au peuple en nous souvenant que la vraie démocratie c’est toujours de postuler la compétence des incompétents.

 

Chiche, avançons vers une société de la gratuité du bon usage face à l’interdiction de tous les mésusages sociaux, écologiques et politiques.

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  • : Yves Dagand
  • : municipal,politique,nature,chimirec,ecologie,porcieu amblagnieu,porcieu,38390
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