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En juillet 2013, le ministre délégué à la consommation de l'époque,
Benoît Hamon, avait fait des promesses concernant l'avenir de
l'Institut national de la consommation (INC) et de son journal - d'où
notre silence depuis un an.
Mais ces promesses sont restées des paroles en l'air : rien n'a été
fait depuis !
Aujourd'hui, ceux qui veulent la peau de « 60 Millions » et
de l'INC reviennent à la charge en profitant du changement
ministériel.
Les salariés de l'Institut ont organisé une action ce 25 juin devant
les Galeries Lafayette, boulevard Haussmann à Paris, à l'ouverture
des soldes afin d'interpeller la nouvelle secrétaire d'État à la
consommation, Carole Delga.
Voici le communiqué qu'ils ont diffusé :
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60 MILLIONS SOLDÉ, SALARIÉS LIQUIDÉS... NON AU DÉMANTÈLEMENT
DE L'INSTITUT NATIONAL DE LA CONSOMMATION !
En ce 25 juin 2014, la secrétaire d'État Carole Delga lance
la période des soldes d'été. Ce qu'elle se garde bien de dire,
c'est que ses services ont décidé d'exclure le magazine « 60
Millions de consommateurs » des activités de l'Institut national
de la consommation (INC), qui l'édite depuis 1970.
En clair, le gouvernement souhaite vendre « 60 Millions » à un
groupe privé. Et mettre brutalement fin à cette publication connue
de tous les Français ou presque. Terminés les enquêtes, études
et essais indépendants au service de la protection des consommateurs,
finie l'information indépendante au service du citoyen, au rebut
les expertises pour le compte des associations de consommateurs :
tout risque de disparaître, liquidation !
En effet, le projet de contrat d'objectifs et de performance
2014-2018 tel que Bercy veut l'imposer à l'INC prévoit de sortir
les activités de presse du périmètre de l'INC.
Conséquence directe : on prive l'INC des ressources des ventes
de son journal, soit les trois quarts du chiffre d'affaires,
puisque « 60 Millions », activité non subventionnée, permet à
l'Institut de compenser la baisse dramatique de ses subventions
(divisées par trois en vingt ans, diminuées de 17 % en deux ans).
Conséquence directe plus grave encore : 60 % des salariés sont
menacés à la fois par la vente du journal et par le manque à gagner
qui en découlerait pour l'INC.
Et tout ça pourquoi ?? ON NE LE SAIT PAS !
Sollicitée dès le premier jour de sa prise de fonction, Carole
Delga n'a pas daigné répondre à nos multiples sollicitations, nous
contraignant à perturber le lancement des soldes.
Le gouvernement doit désormais assumer ses actes, en expliquant
pourquoi il veut dégager « 60 Millions » de l'INC, et pourquoi, lui
qui prétend être si attentif du sort des salariés menacés en général,
s'apprête à déclencher un plan social absurde.
Nous demandons aux citoyens de signer notre pétition en ligne,
et nous prions la secrétaire d'État d'avoir le courage d'affronter
la réalité.
Non au bradage absurde de 60 Millions de consommateurs !
-----=====-----
Faites circuler notre pétition pour soutenir « 60 Millions » :
http://soutenons60.org
Bien cordialement,
Le comité de soutien à « 60 Millions de consommateurs »
Notre revue de presse :
http://soutenons60.org/Revue-de-presse
Notre fil Twitter :
http://twitter.com/Soutenons_60
Notre page Facebook :
http://www.facebook.com/soutenons60
Le site web de « 60 Millions » :
http://www.60millions-mag.com
Nos victoires : Soutien au Docteur Nicolas Bonnemaison
Soutien au Docteur Nicolas Bonnemaison
http://www.mesopinions.com/petition/victoire/soutien-docteur-nicolas-bonnemaison/8416
"Je suis une maman inquiète. Parfois, lorsque mes enfants marchent sur le trottoir pour aller à l'école, des tracteurs y épandent des pesticides qu'ils respirent à plein poumon, alors que les techniciens du tracteur, eux, portent des masques de protection."
Nombreux sont les parents comme cette maman inquiets pour l'avenir de leurs enfants et leur santé, à cause de l'utilisation de pesticides à proximité des lieux de vie.
Nous avons une occasion unique de demander la mise en place de plans de protection réelle des riverains exposés aux pesticides : ce mardi 24 juin à l'Assemblée Nationale aura lieu un débat sur la loi d'Avenir Agricole qui pourrait inclure ces mesures.
Générations Futures œuvre depuis des années pour dénoncer l'impact des pesticides sur la santé et l'environnement. Notre association a recueilli depuis près de 10 ans des centaines de témoignages de riverains mais aussi de professionnels victimes de ces substances nocives (des exemples en ligne : http://victimespesticides.weebly.com/particuliers.html) .
Comment tolérer pour ces populations qu'on impose des Zones non Traitées le long des cours d'eau mais qu'on ne le fasse pas pour protéger leurs enfants ? Qu'on recommande (voire oblige) les professionnels à porter des Equipements de protection individuelle du fait même du risque associé à l'exposition à ces pesticides, alors même que les riverains se retrouvent régulièrement "aspergés" entre mars et septembre par ces produits nocifs sans aucun moyen de protection ?
Nous n'avons eu de cesse d'alerter sur les dangers – sous évalués – représentés par ces pesticides pour les populations riveraines de zones pulvérisées. Pendant des années, les services en charge des questions des pesticides au sein du Ministère de l'agriculture, nous faisaient savoir que ces produits étant évalués, il n'y avait pas de raison de s'inquiéter, et donc d'instaurer des Zones non Traitées (ZNT) le long des lieux de vie… oui mais ça c'était avant, avant que :
>>> De nombreux professionnels (agriculteurs notamment) s'alarment du nombre croissant de malades dus à l'exposition aux pesticides ;
>>> Des milliers de médecins s'inquiètent des conséquences pour la santé de leur patient d'une exposition à ces substances conçues pour être nocives;
>>> Des scientifiques démontrent les risques que font courir ces pesticides aux personnes exposées;
>>> Des parents et riverains déplorent non-respect de la réglementation et des faiblesses des pouvoirs régaliens en la matière ;
>>> Des associations, au travers d'enquêtes, prouvent que de plus en plus de pesticides sont présents dans l'air et que les riverains de zones agricoles qui respirent ces pesticides sont contaminés par ces produits ;
>>> Des élus s'étonnent de la faiblesse des règlementations en matière de protection des populations ;
>>> Etc.
L'agriculture est un maillon essentiel et structurant de notre pays mais elle ne peut se concevoir au mépris de la protection de l'environnement et du respect de la santé. Les souffrances endurées par les personnes vivant dans des zones pulvérisées par des pesticides sont réelles. Des dizaines de personnes ont d'ailleurs transmis aux instances compétentes la preuve de ces souffrances. Il faut maintenant, après les avoir niées pendant des années, les prendre en compte et mettre en place des mesures qui demain protégeront ces populations, notamment les plus vulnérables.
Nous attendons donc de nos élus du courage pour ne pas céder face aux pressions auxquelles ils vont être soumis et qu'ils soutiennent l'amendement déposé dans le cadre de la loi d'Avenir Agricole lors de la 2ème lecture à l'Assemblée Nationale visant à mettre en place des Zones non Traitées le long des lieux de vie. L'absence de mesure risque d'envenimer des tensions dans les zones concernées, susceptibles de se transformer avec le temps en véritables zones de conflits à l'instar de ce qui se passe en Limousin et dans d'autres régions.
Pour la mise en place de zones sans pesticides à proximité des lieux de vie, signez la pétition et partagez la autour de vous.
Depuis 2008 : - Annulation du permis de construire CHIMIREC à VILLEMOIRIEU peu avant les élections municipales en 2008 ! , et donc, dès fin mars 2008, premières démarches de CHIMIREC pour s'installer à Bouvesse Quirieu …
Pour lire la suite cliquez ici
Auteur : Association Sauvons Notre Futur
Créé le 16/06/2014 - Fin le 16/08/2014
1) Après le refus du Danemark et de l'Allemagne de recevoir le stock australien de plus de 9.000 tonnes d'HCB, l'entreprise ORICA, propriétaire du produit, et le gouvernement australien, tentent leur chance en France pour une incinération par l'entreprise Tredi (Groupe Séché Environnement) des déchets toxiques sur le site de Salaise/Sanne (Isère).
2) L'HCB est un produit hautement toxique, cancérogène avéré pour les animaux et probable pour l'homme. Il est classé "très toxique" pour les organismes aquatiques avec des effets néfastes à long terme. Il est interdit en Europe depuis 1981. Sa fabrication, son stockage, sa circulation et sa destruction sont réglementés par les Conventions de Stockholm et de Bâle.
Le stock a été constitué à partir du début des années 60 jusqu'au début des années 90.Orica et le gouvernement australien avaient le temps et les moyens de mettre en œuvre un traitement alternatif à l'incinération avec une meilleure efficacité et moins de résidus, et sur place comme le préconise la Convention de Stockholm.
Le produit devra traverser la moitié de la planète par bateau, puis joindre Le Havre à Salaise par terre. Un accident, toujours possible, aurait de lourdes conséquences environnementales.
L'incinération, même si les normes sont respectées (et il arrive qu'il y ait des dysfonctionnements) rejette des polluants dans l'air et l'eau. Les résidus de combustion (les mâchefers) peuvent être toxiques et doivent être entreposés dans des centres de stockage de déchets ultimes.
3) Chaque pays doit prendre ses responsabilités pour la gestion de ses déchets dangereux. Il est inadmissible qu'un pays développé se débarrasse ainsi de ses produits indésirables : l'exportation est la solution de facilité
Un grand merci pour votre soutien : la France ne doit pas devenir la poubelle d'autres pays.
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PLUS D'INFORMATIONS :
http://www.europe1.fr/International/Un-groupe-australien-veut-envoyer-ses-dechets-toxiques-en-France-2133903/
http://www.liberation.fr/terre/2014/05/27/un-groupe-chimique-australien-veut-envoyer-en-france-ses-dechets-toxiques_1027799
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/environnement/un-groupe-chimique-autralien-veut-decharger-des-dechets-toxiques-en-france_1546744.html
http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/05/27/le-groupe-chimique-orica-veut-envoyer-en-france-ses-dechets-toxiques_4426693_3244.html
http://www.enviro2b.com/2014/05/27/laustralie-cherche-se-debarraser-15-000-tonnes-dechets-hautement-toxiques-en-france/
Signez la pétitionVoir toutes les signaturesPlus d'infos sur ce suje
Non à l'incinération en France du stock australien d'HexaChloroBenzène (HBC)
À l'attention : de la Direction de l'environnement australienne 1) Après le refus du Danemark et de l'Allemagne de recevoir le stock australien de plus de 9.000 tonnes d'HCB, l'entreprise ORICA ...
Le 28 mai dernier, 50 militants de la Confédération paysanne ont démonté symboliquement la salle de traite de la future usine des 1000 vaches.
S'en sont suivis 3 jours de répression syndicale : 48h de garde à vue pour 5 militants, 26 départements mobilisés pour leur libération avec en point d'orgue la garde à vue symbolique du conseiller agricole de François Hollande par la Conf' de l'Aveyron...
Revivez les 3 jours de bras de fer
Le combat contre les 1000 vaches révèle deux points particulièrement scandaleux : d'une part des subventions publiques astronomiques à l'agriculture industrielle (4 millions d'€/an pour les 1000 vaches), alors qu'on laisse crever les paysans depuis 50 ans; de l'autre part un gouvernement opposé au projet dans les médias, déclarant que l’État n'y peut rien... En fait, nos responsables politiques n'ont pas fait bouger un millimètre de la Loi d'avenir agricole (LAAF) qui pourrait bloquer facilement ce type de projet. Bien au contraire, ils continuent de voter des projets de loi qui orientent l'argent des contribuables vers la poche de ce type d'entrepreneur et, pire, ils régularisent en sous-main des permis de construire illégaux et pilotent l'arrestation du porte-parole du 2ème syndicat agricole français...
En 50 ans, les paysans se sont retrouvés coincés entre le marteau de l'amont (multinationales semencières et produits chimiques) et l'enclume de l'aval (multinationales de l'agro-alimentaire & de la grande distribution). Et voila que les industriels veulent faire leur métier à leur place ! Les paysans n'ont plus que la désobéissance civile non-violente pour empêcher leur propre disparition.
Nous avons absolument besoin de votre soutien :
- Soutenez financièrement la Conf' qui pourrait avoir à supporter des amendes pénales conséquentes.
- Participez à la campagne d'interpellation de Senoble, la laiterie industrielle qui va collecter le lait des 1000 vaches.
Nouvelle vidéo du groupuscule des vaches en colère :
- Signez et diffusez largement l'appel à signature "Des fermes pas des usines" pour qu'un maximum de citoyens s'élèvent contre ce projet de fou.
- Diffusez la page de mobilisation contre les 1000 vaches
Et RDV le 1er juillet devant le Palais de justice d'Amiens pour la première audience du procès de la Conf' !!
La courte vidéo que vous allez voir (3'55) est filmée sur une île qui se trouve en plein océan Pacifique, à 3000 km de la terre la plus proche. Personne n'habite sur cette île, il n'y a que des oiseaux, et
pourtant...Regardez ce qui se passe !!!
Elle est éloquente est nous engage tous à une prise de conscience radicale.
Réforme territoriale: où sont les 10 milliards d'économies?
Le secrétaire d'Etat à la réforme territoriale Alain Vallini chiffre à 10 milliards d'euros le bénéfice de la réforme territoriale pour le budget de l'Etat. Mais les pistes d'économies semb...
La nouvelle édition du festival Bugey C Trip aura lieu cette année le week-end du 6,7 et 8 juin à Tré-Charavu (proche de Thézillieu et de Cormaranche-en-Bugey) sur le plateau d'Hauteville (01). Comme chaque année cette manifestation ce veut accessible à tous donc à prix libre, intergénérationnelle avec des animations pour les petit-es et les grand-es, culturelles, festives et engagées.
Bugey C Trip - 6 et 7 juin 2014 - Convergences militantes à Tré-Charavu
La nouvelle édition du festival Bugey C Trip aura lieu cette année le week-end du 6,7 et 8 juin à Tré-Charavu (proche de Thézillieu et de Cormaranche-en-Bugey) sur le plateau d'Hauteville (01)...